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À base de fumiers ou de déchets verts, les tas de composts faits par et pour les vignerons se multiplient. Bénéficier de matières brutes à bas prix, valoriser des déchets locaux, ou répondre aux attentes de la vie microbienne : à chacun ses priorités pour bien composter.
Déjà cinq ans qu’il apporte du compost sur ses vignes, et Christophe Blanc, vigneron à Pourcieux dans le Var, n’est pas près d’arrêter. S’il a commencé sur 3 des 36 ha que compte son domaine, il en est rendu actuellement à une douzaine d’hectares amendés en compost chaque année, un rang sur deux, à raison de 25-30 t/ha. Un...
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